L’ancien ministre des Affaires étrangères, Abdullah Abdullah, arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle, a demandé mercredi 18 juin 2014 l’arrêt du dépouillement des bulletins du second tour de la présidentielle, qui s’est tenu samedi 14 juin 2014 en raison de fraudes massives. Il a ajouté « n’avoir aucune confiance dans les entités chargées des élections » et a appelé ses observateurs à cesser de surveiller les opérations ».