L’ancien président Pervez Musharraf, qui devait comparaître mercredi 1er janvier 2014 devant le tribunal spécial chargé de le juger pour haute trahison, où il risque la peine de mort, ne s’est pas présenté à cette audience, invoquant des raisons de sécurité. La police a trouvé le 24 décembre et le 30 décembre 2013, des explosifs sur le trajet que devait emprunter le convoi de l’ancien président pakistanais, et sur une route menant à son domicile où il est assigné à résidence depuis avril 201