New Delhi est considérée comme la ville la plus polluée au monde. Le charbon emplit le ciel. Et les politiques sont pressés d’agir pour le climat.
Des volutes d’épaisse fumée noire s’échappent vers les cieux nuageux de Delhi au fur et à mesure que Kunti Desai alimente son fourneau à charbon pour produire le goudron nécessaire à la réfection d’une route de la capitale.
(En anglais)
Kunti Desai, dont les mains et le visage sont noircis par la fumée, sait que son travail contribue à dégrader la qualité de l’air de la mégapole, qui dépasse fréquemment Pékin comme capitale la plus polluée du monde. Mais, dit-elle, « cette fumée me permet de gagner ma vie ».
« Nourrir mes enfants et les envoyer à l’école est plus important que de m’inquiéter de la qualité de l’air », dit cette mère de deux enfants qui gagne 40 dollars par mois. [Lire la suite sur La Tribune de Genève]