La ministre de l’Économie, Yuko Obuchi, en poste depuis le 3 septembre 2014, première femme à occuper ce poste, est accusée par le quotidien de centre gauche « Mainichi Shimbun », d’avoir détourné, de 2007 à 2102, plus de 10 millions de yens (près de 74 000 euros) de financements politiques à des fins personnelles, notamment en produits de beauté dans de grands magasins.