Victime de la surexploitation de son eau pour la culture du coton, la mer d’Aral avait perdu une 75 % de sa surface et 90 % de son volume et elle menaçait de disparaître. Pourtant, les efforts accomplis dans les années 2000 commencent à porter leurs fruits. La mer d’Aral revient à la vie.
On pensait que les carottes étaient cuites. Que la mer d’Aral, située à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbékistan, en Asie centrale, allait être rayée de la carte. Mais non ! Grâce à la mobilisation locale et internationale, la quatrième plus grande mer intérieure de la planète, d’une surface de 67 000 km² — soit deux fois la superficie de la Belgique —, revient à la vie. La végétation reprend peu à peu ses droits sur les steppes sablées, tandis que poissons et oiseaux sont de retour. (lire la suite sur Le Parisien)