Choe Ryong-hae, secrétaire du Parti des Travailleurs nord-coréen, proche de Kim Jong-un, chef de l’État, a été envoyé en ferme de rééducation, a annoncé mardi 24 novembre 2015 le Service national des renseignements sud-coréen, qui précise que Choe Ryong-hae serait « puni pour sa mauvaise gestion du projet de construction d’une centrale électrique ». Son absence des listes des dirigeants de la Corée du Nord depuis un mois avait été remarquée.
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Kim Jong-un supervise un exercice militaire
Le chef de l’État, Kim Jong-un, a organisé, puis supervisé, un exercice militaire de l’Armée populaire de Corée, « ordonnant à toutes les unités militaires de s’entraîner dans des conditions de simulation d’une véritable guerre ».
Kim Jong-Un absent de la session de l’Assemblée populaire absent
La Télévision centrale coréenne a souligné dans des vidéos émises jeudi 25 septembre 2014 l’absence du chef de l’État, Kim Jong-Un, à la seconde session de la 13e Assemblée populaire suprême qui s’est ouverte jeudi 25 septembre 2014.
Tir d’essai d’une roquette tactique de haute précision
Le chef de l’État nord-coréen, Kim Jong Un a dirigé vendredi 15 août, « avec succès, un tir d’essai d’une roquette tactique de haute précision et de haute performance à l’occasion du 69e anniversaire de la libération de la nation, selon une information publiée par l’agence de presse officielle Korean Central News Agency (KCNA).
Kim Jong Un participe à un exercice à la frontière avec la Corée du Sud
Le chef de l’État de la République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord), Kim Jong Un, a participé samedi 26 juillet 2014 à un exercice de tirs de roquettes, en simulation de combat contre les forces américaines en Corée du Sud. Cet exercice intervient à la veille du 61e anniversaire de la signature de l’armistice de la Guerre de Corée, le 27 juillet 1953, à Panmunjom, à la frontière entre la RPDC et la Corée du Sud.
Chine : La vidéo de Kim Jong-un qui fâche Pyongyang
Décidément, le « Kim Jong-un style » ne passe pas. Ce n’est pas la première fois que le dirigeant nord-coréen se retrouve dans un montage vidéo, ce n’est pas non plus la première fois que Pyongyang dénonce un « acte qui compromet profondément la dignité et l’autorité du leader suprême ». Ici, les autorités nord-coréennes auraient même demandé à Pékin d’intervenir pour supprimer un contenu jugé offensant. [Lire la suite]
Kim Jung Un élu député avec 100 % des voix !
Kim Jong Un, dirigeant suprême de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), qui s’était présenté dans la circonscription du mont Paektu, situé dans les confins septentrionaux de la Corée du Nord, près de la frontière chinoise, lors des élections législatives qui se sont tenues dimanche 9 mars 2014, a été élu député pour un mandat de 5 ans, obtenant 100 % des suffrages, et un taux de participation de… 100 %. Un seul candidat, désigné par le parti unique, a le droit de se présenter dans les 687 circonscriptions que compte la Corée du Nord.
Kim Jung-un veut améliorer ses relations avec la Corée du Sud
Le chef de l’État nord-coréen, Kim Jong-un, a prononcé, mercredi 1er janvier 2014, son discours du Nouvel An, d’une durée de 30 minutes, diffusé sur la chaîne de télévision d’État, Korean Central TV, dans lequel il a dit « souhaiter créer une atmosphère propice à l’amélioration des relations entre la RPDC et la Corée du Sud » en suivant les déclarations intercoréennes conjointes du passé ». Il a également appelé à « la consolidation de la puissance politique et d’autodéfense de la RPDC » (NDLR. République populaire démocratique de Corée) et a promis de « contrer toute provocation » afin de « sauvegarder la dignité » de la Corée du Nord.
Célébration du deuxième anniversaire de la mort de Kim Jong-il
Cérémonies mardi 17 décembre 2013 pour commémorer le deuxième anniversaire de la mort de Kim Jong-il, au pouvoir de 1994 à 2011, dirigeant suprême de la République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée du Nord), secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée, président de la Commission nationale de la défense de la RPDC et commandant suprême de l’armée populaire coréenne, décédé le samedi 17 décembre 2011, « des suites d’un grave épuisement mental et physique », en présence de son fils et successeur, Kim Jong-un.
Jang Song-thaek, oncle du dirigeant Kim Jong-un, condamné à mort et exécuté
Jang Song-thaek (57 ans), Vice-président de la Commission de défense nationale et secrétaire du département administratif du Parti du travail de Corée (PTC), oncle du dirigeant Kim Jong-un, « relevé de toutes ses fonctions et expulsé du Parti des travailleurs de Corée » (PTC) pour un « crime antiparti et contre-révolutionnaire », a été condamné à mort jeudi 12 décembre 2013 pour « actes criminels » et « traîtrise » par un tribunal militaire spécial et immédiatement exécuté. Selon l’agence officielle de presse, Korean Central News Agency (KCNA), Jang Song-thaek a commis « d’horribles crimes en tentant de renverser l’État par toutes sortes d’intrigues et de méthodes méprisables avec l’ambition frénétique de s’emparer du pouvoir suprême de notre parti et de notre État ».