Voir aussi : « François Hollande invite en France le président iranien Hassan Rohani » (29 juillet 2015)
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S’exprimant jeudi 25 septembre 2014 devant la 69e session de l’Assemblée générale de l’ONU qui se tient à New York aux États-Unis, du mardi 16 septembre au mardi 14 octobre 2014, le président Hassan Rohani a affirmé que l’Iran « s’engage à développer son programme nucléaire pacifique, y compris l’enrichissement d’uranium, et à bénéficier de tous les droits dans le domaine nucléaire sur le sol iranien dans le cadre du droit international ».
Nawaz Sharif, Premier ministre du Pakistan, a commencé dimanche 11 mai 2014 une visite de deux jours en Iran au cours de laquelle il sera reçu par le président Hassan Rohani et le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei. Plusieurs protocoles d’accord devraient être signés à cette occasion.
Le président Hassan Rohani a annoncé dimanche 1er décembre 2013 la construction d’une deuxième centrale nucléaire dans la province de Bouchehr, en collaboration avec la Russie, afin de produire plus d’électricité.
Le président Hassan Rohani a déclaré vendredi 29 novembre 2013, dans une interview donnée au quotidien britannique « Financial Times », a exclu « à 100 pour cent, tout démantèlement des installations nucléaires » en Iran. Il a également souligné que « les problèmes entre l’Iran et les États-Unis sont très compliqués et ne peuvent pas être résolus dans un court laps de temps. Malgré les complications, il y a eu une ouverture ces cent derniers jours, qui peut encore s’élargir ».
Des manifestants, qui exprimaient leur colère après l’entretien téléphonique entre le président Hassan Rohani et le président Barack Obama, ont scandé, samedi 28 septembre 2013, des slogans hostiles au président iranien et jeté des chaussures sur sa voiture alors qu’il arrivait à Téhéran la capitale. 2 personnes ont été arrêtées et une enquête a été ouverte.
S’exprimant vendredi 27 septembre 2013 au cours d’une conférence de presse donnée à New York aux États-Unis, où il a participé à la 68e session annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU, le président iranien Hassan Rohani, a indiqué que l’Iran est prêt à participer à la conférence internationale « Genève-2 » sur la Syrie sans aucun préalable, affirmant que la crise en Syrie « ne peut être réglée que par les moyens pacifiques ». Il a ajouté : « La dislocation de la Syrie est très dangereuse, les terroristes doivent quitter la Syrie, il ne doit y avoir de guerre lancée par des États étrangers ».
S’exprimant jeudi 26 septembre 2013 lors d’une réunion des pays non alignés, qui s’est tenue en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, le président iranien Hassan Rohani a appelé Israël à signer le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), déclarant : « Tant que les armes nucléaires existeront, le risque de leur utilisation et la menace de leur prolifération persisteront », ajoutant : « Israël, seul dans la région qui ne soit pas partie du traité de non-prolifération nucléaire, devrait le faire sans délai supplémentaire ». Le chef de la délégation israélienne auprès de l’ONU, Yuval Steinitz, a réagi en accusant l’Iran « d’attirer l’attention sur Israël pour ne pas que l’on parle de son programme nucléaire ». Selon plusieurs experts internationaux, Israël possède le sixième arsenal nucléaire au monde, incluant des armes tactiques, des mines et des missiles de moyenne portée et 3 sous-marins nucléaires basés à Haïfa. Le technicien militaire israélien à la centrale nucléaire de Dimona dans le désert du Néguev, Mordechaï Vanunu, surnommé « l’espion nucléaire », avait révélé au monde que le programme nucléaire d’Israël, prétendu à usage pacifique, est chargé de produire un nombre considérable d’armes nucléaires très sophistiquées représentant un arsenal comparable à celui de la France. Incarcéré en 1986, Mordechaï Vanunu est libéré le 21 avril 2004 après 18 ans de prison, dont 11 ans en isolement.
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Le président iranien, Hassan Rohani, s’est exprimé mardi 24 septembre 2013 devant l’Assemblée générale qui tient sa 68e session, à New York aux États-Unis. Il a rappelé son « engagement » en faveur « d’une paix durable, de la stabilité, de la résolution pacifique des conflits et de l’élection comme seule source légitime du pouvoir politique » tout en déplorant que « certains acteurs internationaux aient toujours recours à des moyens archaïques et inefficaces dans le but d’asseoir leur supériorité et leur domination ». Le président iranien a ajouté : « L’ignorance des différences entre les sociétés et les valeurs occidentales mondialisées, présentées comme universelles, est la manifestation de ce même état d’esprit ». Il a regretté « des discours de propagande » qui ont fait de l’Iran « une menace », et affirmé avec vigueur que « l’Iran ne représente absolument aucune menace pour la sécurité de la région et du monde » tout en dénonçant « les campagnes sans fondement contre la religion, l’islamophobie, le chiismophobie et l’iranophobie ne sont que de sérieuses menaces contre la stabilité mondiale et la sécurité de l’homme ».
Dans un entretien à la chaîne de télévision américaine, NBC (National Broadcasting Company), le président iranien Hassan Rohani a affirmé mercredi 18 septembre 2013 que l’Iran ne « produira jamais de bombes nucléaires ». Les États-Unis et Israël accusent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire sous le couvert d’un programme civil. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) avait annoncé mercredi 28 août 2013 que les négociations avec l’Iran portant sur son programme nucléaire vont reprendre le vendredi 27 septembre 2013 à Vienne, la capitale. Le 10e round de négociations entre l’Iran et l’AIEA avait eu lieu le mercredi 15 mai 2013 à Vienne et n’avait abouti à aucun accord.