Raids de l’armée sur une zone tribale, fief des talibans

L’armée pakistanaise a mené un raid aérien dimanche 23 février 2014 contre des repaires de combattants talibans, dans la zone tribale de Khyber, dans le nord-ouest du Pakistan, à la frontière avec l’Afghanistan, faisant au moins 38 morts. Cette opération intervient après la rupture lundi 17 février 2014 des négociations avec les talibans après l’annonce faite par une faction du Mouvement des talibans du Pakistan (TTP) affirmant que les rebelles avaient tué 23 membres des forces paramilitaires, enlevés en juin 2010, pour dénoncer les « exécutions extrajudiciaires » commises par les autorités contre des talibans emprisonnés.

Le ministre belge des Affaires étrangères en visite en Iran

Le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a effectué samedi 22 février 2014 une visite officielle de 3 jours en Iran, la première d’un ministre belge depuis 10 ans, visant à « trouver un accord transparent sur le programme nucléaire de l’Iran, avec un véritable contrôle international », selon le ministre belge, qui a ajouté que « les relations économiques pourront alors aussi reprendre ».

La Chine proteste contre la rencontre entre le Dalaï-Lama et le président Barack Obama

Le ministère des Affaires étrangères a vivement protesté samedi 22 février 2014 après la rencontre, à la Maison-Blanche, à Washington, aux États-Unis, entre le président Barack Obama et le Dalaï-Lama, chef spirituel des Tibétains, « reçu en tant que leader religieux et culturel respecté internationalement ».

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Le tribunal civil de Bangkok interdit l’usage de la force contre les manifestants

Le tribunal civil de Bangkok, saisi par l’opposition qui conteste l’instauration de l’état d’urgence, le 22 janvier 2014 pour 60 jours dans la capitale Bangkok, a ordonné mercredi 19 février 2014 au gouvernement de ne pas utiliser la force contre les manifestants pacifiques au lendemain d’affrontements qui ont fait 5 morts et plusieurs dizaines de blessés. Le tribunal a souligné que « les ordres du gouvernement violent et affectent les droits des manifestants en vertu de la Constitution », rappelant que « la Cour suprême avait jugé que “les manifestants étaient pacifiques” et que la première ministre Yingluck Shinawatra “ne peut avoir recours à la force” contre eux.»

La Cour suprême bloque la libération des trois assassins de Rajiv Gandhi

La Cour suprême a bloqué jeudi 20 février 2014 la libération des 3 assassins, et 4 complices, dans l’assassinat de l’ancien Premier ministre indien, Rajiv Gandhi, en 1991, émise par Jayalalitha Jayaram, gouverneure de l’État du Tamil Nadu, dans le sud-est de l’Inde, après que la Cour suprême eût décidé de commuer à la prison à perpétuité la peine de mort prononcée à l’encontre des 3 assassins, « en raison des délais jugés trop longs pour examiner leur recours en grâce ».

Rencontre entre Xi Jinping et le président honoraire du Kuomintang

Xi Jinping, secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois, a rencontré mardi 18 février 2014 à Pékin la capitale le président honoraire du Kuomintang, Lien Chan, en visite en chine jusqu’au jeudi 20 février 2014. Une délégation composée de représentants de Taïwan dans différents domaines participait également à cette rencontre. Le président chinois Xi Jinping a déclaré :

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Les 3 assassins de l’ancien premier ministre Rajiv Gandhi libérés

Les 3 assassins de l’ancien premier ministre, Rajiv Gandhi, tué le 21 mai 1991 dans un attentat, et 4 de leurs complices, vont être libérés, après avoir purgé 23 ans de prison, selon une déclaration faite mercredi 19 février 2014 par Jayalalitha Jayaram, gouverneure de l’État de Tamil Nadu, dans le sud-est de l’Inde, et secrétaire générale du parti politique tamoul AIADMK (All India Anna Dravida Munnetra Kazhagam). La veille de cette annonce, la Cour suprême avait décidé de commuer à la prison à perpétuité la peine de mort prononcée à l’encontre des 3 assassins, « en raison des délais jugés trop longs pour examiner leur recours en grâce ».

Accord pour l’achat de 14 % des parts de PSA Peugeot-Citroën par Dongfeng

Le deuxième constructeur automobile chinois, Dongfeng Motor Group Co. Ltd, a annoncé mercredi 19 février 2014 avoir signé un accord pour acheter 14 % des parts de la société française PSA Peugeot-Citroën. Selon un protocole d’entente, Dongfeng Motor Group Co. Ltd et le gouvernement français investiront chacun 800 millions d’euros dans le constructeur automobile français en difficulté. La vente d’actions doit préalablement être soumise aux approbations réglementaires en Chine et en France. Selon les résultats 2013, publiés ce mercredi, PSA Peugeot-Citroën a enregistré 2,32 milliards d’euros de pertes contre 5 milliards d’euros en 2011.