Phnom Penh (ក្រុងភ្នំពេញ) est situé dans le sud du Cambodge, dans la plaine des Quatre-Bras qui tire son nom des quatre voies d’eau qui la bordent : le Mékong en amont, le bras principal du Mékong en aval, le Tonlé Sap et le Bassac. La ville, fondée en 1434, est devenue la capitale du Royaume en 1920, à l’époque de la colonisation française, où elle était surnommée la « Perle de l’Orient ».
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Un professeur britannique condamné à 2 ans de prison pour pédophilie
Un professeur d’anglais britannique de 36 ans a été condamné lundi 24 mars 2014 à 2 ans de prison pour « actes indécents » sur 3 frères de 8, 10 et 11 ans, commis dans une école privée de Phnom Penh, la capitale. Cet homme avait déjà été condamné au Royaume-Uni pour production d’images pédopornographiques. Il devra purger sa peine au Cambodge et ensuite quitter le pays.
Le HCDH déplore un usage excessif de la force contre des ouvriers en grève
Le Haut commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme (HCDH) a déploré, dans un communiqué publié mardi 7 janvier 2014, « l’usage excessif et disproportionné de la force, par les autorités chargées de rétablir l’ordre, contre des travailleurs du secteur textile en grève à Phnom Penh, la capitale, le 3 janvier 2014, faisant 5 morts et une vingtaine de blessés.
Les chefs de l’opposition convoqués la justice pour incitation aux troubles civils
Sam Rainsy, chef du parti d’opposition, Parti du sauvetage national du Cambodge (CNRP), et son adjoint Kem Sokha, ont été convoqués devant le tribunal municipal de Phnom Penh la capitale, mardi 14 janvier 2014. Ils doivent être interrogés pour « suspicion d’incitation aux troubles civils ». L’opposition manifeste quotidiennement dans les rues depuis l’annonce du résultat des élections législatives du 28 juillet 2013, qui avaient donné la victoire au Parti du peuple cambodgien (PPC, au pouvoir) du Premier ministre Hun Sen, au pouvoir depuis 28 ans.
La municipalité de Phnom Penh interdit les manifestations
La municipalité de Phnom Penh, la capitale, a annoncé samedi 4 janvier 2014 qu’elle interdisait, à partir du 4 janvier 2014, et jusqu’à nouvel ordre, au parti de l’opposition, Parti du sauvetage national du Cambodge (CNRP, opposition), mené par Sam Rainsy, d’organiser de nouvelles manifestations dans la capitale, dans le but de « maintenir l’ordre et la sécurité ».
Trois morts dans une intervention de la police à Phnom Penh
La police a ouvert le feu vendredi 3 janvier 2014 à Phnom Penh, la capitale, sur des ouvriers du textile en grève, qui demandaient des hausses de leur salaire, fixé à 80 dollars par mois, faisant trois morts et deux blessés. Le gouvernement a promis une hausse de 15 dollars, mais les syndicats réclament 160 dollars. La Ligue cambodgienne de défense des droits de l’Homme (LICADHO) s’est dite « préoccupée » par ces événements, soulignant qu’il s’agit des « plus graves violences commises contre des civils depuis 15 ans ».
L’ONU demande l’ouverture une enquête sur l’usage excessif de la force par la police
Le haut commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme (HCDH) a demandé vendredi 15 novembre 2013 au gouvernement du Cambodge d’ouvrir une enquête pour usage excessif de la force par la police, à la suite d’un incident qui s’est déroulé dans le quartier de Stung Meanchey, dans la capitale Phnom Penh, le 12 novembre 2013 lors d’une manifestation d’ouvriers du textile qui ont tenté de marcher sur la résidence du premier ministre, et où la police aurait matraqué des manifestants et tiré, à balles réelles et en caoutchouc, contre des manifestants, faisant un mort et 7 blessés.
La police intervient contre les manifestants qui protestent contre les résultats des élections
La police est intervenue dimanche 15 septembre 2013 à Phnom Penh à coups de gaz lacrymogènes et de canons à eau pour disperser une manifestation pour dénoncer les résultats des élections législatives du 28 juillet 2013 qui ont donné la victoire au Parti du peuple cambodgien (CPP, au pouvoir) du premier ministre, Hun Sen, en poste depuis 28 ans.