Le chef des Chemises rouges, mouvement d’opposition du Front uni pour la démocratie contre la dictature, partisan de l’ancienne première ministre, Yingluck Shinawatra, a été condamné mercredi 28 janvier 2015 à 2 ans de prison, sans réduction de peine possible, dans le cadre d’une ancienne affaire de diffamation contre un ancien premier ministre. … Lire la suite
Étiquette : Yingluck Shinawatra
La Cour constitutionnelle destitue la Première ministre
La Cour constitutionnelle a destitué mercredi 7 mai 2014 la Première ministre Yingluck Shinawatra pour abus de pouvoir, ainsi que 9 membres de son cabinet : le Premier ministre adjoint, Pracha Promnog, le ministre du Travail, Chalerm Yoobamrung, le Premier ministre adjoint, Plodprasop Suraswadi, le Premier ministre adjoint et ministre des Finances, Kittiratt Na-Ranong, le Premier ministre adjoint et ministre des Affaires étrangères, … Lire la suite
L’état d’urgence a été levé à Bangkok
L’état d’urgence, imposé depuis le 22 janvier 2014, à la suite de violentes manifestations de protestation contre le gouvernement en place de la première ministre Yingluck Shuinawatra, a été levé mardi 18 mars 2014 à Bangkok la capitale.
La première ministre Yingluck Shinawatra sera inculpée pour négligence
La commission anticorruption a annoncé mardi 18 février 2014 avoir convoqué la première ministre Yingluck Shinawatra pour le jeudi 27 février 2014 afin de lui signifier son inculpation pour négligence dans le cadre d’un programme controversé de subventions aux riziculteurs, estimant qu’elle a sciemment ignoré une « politique qui engendrait pertes financières et corruption ». Dans le cadre de ce programme, le gouvernement achète le riz à des prix allant jusqu’à 50 % en dessus des cours mondiaux, créant un stock d’invendus de plus de 15 millions de tonnes. Avec ce prix subventionné, la Thaïlande a perdu sa place en tant que premier exportateur mondial de riz au profit de l’Inde et du Viêt Nam.
Bangkok paralysée par des dizaines de milliers de manifestants
Des dizaines de milliers de manifestants ont bloqué les principales routes, menant à la capitale Bangkok, qui a été entièrement paralysée. Ils demandent la démission de la première ministre, Yingluck Shinawatra, accusée d’être à la solde de son frère, l’ancien premier ministre, Thaksin Shinawatra, renversé par un coup d’État le 19 septembre 2006, alors qu’il participait à l’Assemblée générale de l’ONU à New York aux États-Unis. Yingluck Shinawatra a répondu aux manifestants en dissolvant le parlement et convoquant des élections anticipées pour le dimanche 2 février 2014.
Manifestation à Bangkok réclamant la démission du gouvernement
150 000 personnes, selon la police, ont manifesté dimanche 22 décembre 2013 à Bangkok la capitale pour réclamer la démission du gouvernement, malgré la décision de la première ministre, Yingluck Shinawatra, de dissoudre le parlement et de convoquer des élections, prévues pour le 2 février 2014, conformément aux demandes des manifestants.
La première ministre Yingluck Shinawatra réaffirme qu’elle ne démissionnera pas
La première ministre Yingluck Shinawatra a réaffirmé mardi 17 décembre 2013 qu’elle ne démissionnera pas, comme le demandent les manifestants et malgré la dissolution du parlement et la convocation d’élections anticipées pour le 2 février 2014. Yingluck Shinawatra a expliqué qu’en vertu de la Constitution, elle demeure Première ministre jusqu’à ce qu’un nouveau Premier ministre soit élu. Un budget de 3,8 milliards de bahts (118,6 millions de dollars) a été débloqué pour organiser les élections.
La première ministre refuse de démissionner
La première ministre Yingluck Shinawatra a indiqué mardi 10 décembre 2013 qu’elle refusait de démissionner, estimant avoir répondu aux exigences des manifestants, après avoir dissous le parlement et convoqué des élections législatives pour le 2 février 2014.
Le parlement dissous, les manifestations continuent
La première ministre, Yingluck Shinawatra, a annoncé lundi 9 décembre 2013 la dissolution du Parlement « sur la base de consultations avec diverses parties », afin de « laisser le peuple décider » et convoqué des élections pour le 2 février 2014. Les manifestants n’ont pas suspendu leur mouvement de protestation et se sont dits prêts à « faire tomber le gouvernement ».
Yingluck Shinawatra déploie des barricades autour du siège du gouvernement et propose la dissolution du Parlement
Alors que des barricades ont été érigées dans la capitale Bangkok par la police autour du siège du gouvernement et du parlement, pour prévenir tout débordement à l’approche de la grande manifestation de l’opposition, prévue lundi 9 décembre 2013, pour « faire tomber le gouvernement », la première ministre Yingluck Shinawatra a proposé dimanche 8 décembre 2013 la dissolution du parlement, la convocation d’élections anticipées dans les 60 jours et la tenue d’un référendum sur la mise en place d’un « conseil du peuple » non élu, proposé par l’opposition. Les manifestants demandant la démission du gouvernement et de sa chef, Yingluck Shinawatra, la considérant comme « une marionnette de son frère », Thaksin Shinawatra, renversé par un coup d’État militaire, le 19 septembre 2006. Les mouvements de protestation avaient débuté le 4 août 2013 pour dénoncer un projet de loi d’amnistie présenté par le parti au pouvoir, Puea Thai, qui prévoit d’amnistier toutes les personnes impliquées dans les mouvements qui ont secoué la Thaïlande depuis le coup d’État qui a renversé l’ancien premier ministre, Thaksin Shinawatra, en septembre 2006, jusqu’en mai 2012. Les partisans de Thaksin Shinawatra, les « Chemises rouges » avaient organisé de violentes manifestations qui avaient fait 90 morts et 1900 blessés. Le texte avait été rejeté par le Sénat le 11 novembre 2013. Le vote des sénateurs avait été retransmis en direct à la radio. La Chambre basse du Parlement avait approuvé le texte le 1er novembre 2013.