À la mort d’Albert Kahn en 1940, le banquier et philanthrope français avait accumulé une collection de plus de 72 000 photographies autochromes. Grace Linden explore les Archives de la Planète — son projet global et tentaculaire de documentation et de préservation d’un monde en pleine mutation — et découvre une nostalgie latente dans les teintes hyperréalistes des premières photographies en couleurs.
Du papier au numérique, deux décennies d’évolution de l’un des plus anciens sites Internet consacrés à l’Asie.
Nous sommes en 1994, bien loin de la société numérique que nous connaissons aujourd’hui. À cette époque, c’est le règne de la presse écrite et de la télévision. C’est dans ce contexte que naît Terres d’Asie, une petite publication de deux pages au format A4 !
On y trouve une sélection de courts articles de l’actualité et d’une rubrique culturelle consacrée aux livres, CD, concerts, expositions…
Distribuée gratuitement, Terres d’Asie va paraître irrégulièrement jusqu’à octobre 1997 qui verra la fin de l’aventure. En tout, ce sont quinze numéros qui vont être publiés (consultables en fin d’article).
Cette publication préfigure la version numérique qui arrivera trois ans plus tard.
20 ans de présence
Cette année, Terres d’Asie en ligne fête ses vingt d’existence ininterrompue. Le site a été lancé en août 2000 et se définissait comme « site portail et d’informations sur l’Asie ». Au fil du temps, le graphisme a évolué, de même que le contenu qui s’est plus tourné vers la culture, avec des articles plus approfondis.
Terres d’Asie a également vu grandir son succès. Il est, à ce jour, l’un des plus anciens sites francophones dédiés à l’Asie.
Nous vous proposons un voyage dans le temps pour découvrir son évolution, au travers de ses pages d’accueil.
La page d’accueil
2003
2006
2009
2013
2017
2020
Terres d’Asie
Les quinze numéros de Terres d’Asie, au format PDF, sont consultables ci-dessous :
Une course géoéconomique est en cours pour façonner l’avenir de l’Asie. Les puissances régionales proposent des plans ambitieux pour la construction de routes, de chemins de fer, d’oléoducs et d’autres infrastructures matérielles dans la région. En s’appuyant sur des sources officielles, les experts du CSIS (Center for Strategic and International Studies) ont élaboré les cartes ci-dessous pour illustrer certaines de ces visions concurrentes. Chaque carte présente, dans les grandes lignes, les principales priorités en matière d’infrastructures d’un acteur de premier plan. Ensemble, ces cartes donnent un aperçu d’une compétition aussi vaste que la région elle-même. Au fur et à mesure de l’évolution de cette histoire, la collection ci-dessous sera élargie et mise à jour.
La géographie physique a défié et façonné les connexions au sein et à travers l’Eurasie depuis l’émergence de ses premières civilisations vers 60 000 ans avant Jésus-Christ. De hautes chaînes de montagnes enneigées, de vastes déserts et d’autres obstacles ont influencé les déplacements et les modes de peuplement. Les vastes steppes herbeuses et la domestication du cheval ont facilité la création de divers groupes mobiles. Vers 10 000 avant J.-C., les premières méthodes d’irrigation ont permis d’étendre de grandes étendues de terres arables et ont aidé les civilisations sédentaires à s’épanouir.
Pour la 23e année consécutive, le festival Accès Asie revient avec, comme toujours, un programme chargé et varié avec près de 70 artistes. Dans cette nouvelle édition dont le porte-parle est Mikhail Ahouja, l’Inde et l’Iran sont bien représentés aux côtés du Japon, de l’Afghanistan, de la Chine, etc. Comme l’an dernier, la soirée d’inauguration se tiendra au Lion d’Or.
Cette quatrième compétition de danses du Moyen-Orient organisée par Accès Asie a rencontré une fois de plus un grand succès. Près d’une centaine de personnes s’étaient retrouvée à la Sala Rossa pour admirer les douze danseuses en lice pour le titre. Le jury était composé de trois personnes : Caroline Labrie (juge d’honneur), Khadija Jabiry et Pierre Khoury.
Les douze participantes de l’édition 2017 accompagnées des membres du jury.
Ce qui est vraiment plaisant avec les concerts d’Accès Asie, c’est qu’ils se déroulent presque toujours dans de petites salles en présence d’un public restreint et passionné. Rien de tel pour s’imprégner de la musique que l’on découvre souvent pour la première fois. L’édition 2017 de Golestan n’a pas fait exception.
On ne s’attend pas à se retrouver dans une salle plongée dans l’obscurité lorsque l’on débarque au MAI. C’est donc dans cet environnement que l’inauguration de Sérendipité s’est passé. Khosro Behramandi, le directeur artistique d’Accès Asie, a dû improviser en se mettant sur un banc pour faire son discours. Un discours difficilement audible vu le nombre de personnes réuni un espace réduit.
Cette 22e édition d’Accès Asie qui se tiendra du 2 au 28 mai met l’accent sur l’art et la culture de l’Inde. On y découvrira également la culture japonaise, afghane, iranienne, thaïe… La porte-parole du festival sera cette année l’actrice Mylène Dinh-Robic. Contrairement aux années précédentes, la cérémonie d’ouverture n’aura pas lieu pas au Monument national, mais au Lion d’or.