Il arrive que la passion et la détermination puissent mener loin et changer le destin d’une personneFilmothèque Celui de Mamad Haghighat l’illustre très bien. De l’Iran à la France, voici son parcours.
Rendons au Népal ses statues volées
Doit-on rendre les statues appartenant au patrimoine népalais ? Il est difficile de répondre à cette question. En effet, bien qu’ayant été récupérées illégalement au profit des pays occidentaux, elles ont été préservées de la destruction. Leur éventuel retour au Népal nécessite la garantie qu’elles ne risquent pas de disparaître pour de bon. En attendant, une artiste américaine les a replacées sous forme de dessin dans leur environnement.
Le Sri Lanka protège son patrimoine
À l’instar de son grand voisin indien, le Sri Lanka possède aussi de nombreux sites archéologiques et historiques. Parmi ceux-ci, des fresques magnifiques qui rappellent celles d’Ajantâ, en Inde. Cette richesse est pourtant menacée par les pilleurs, d’où la création d’une police spéciale dédiée à la surveillance du patrimoine.
Téhéran métamorphosé en une immense galerie d’art
Une initiative très intéressante a été prise par la municipalité de Téhéran. Elle a décidé d’amener l’art dans la ville en place et lieu de panneaux publicitaires. Les automobilistes sont les premiers concernés par les copies d’œuvres de peintres iraniens et étrangers. Le public est visiblement enchanté.
Golestan d’Anatolie : aux frontières de plusieurs cultures
L’année dernière, nous avions eu droit à la rencontre de deux cultures musicales différentes, celles de l’Iran et de l’Inde. Pour cette édition, Pooria Pournazeri (tanbur) et Ziya Tabassian (tombak), accompagnés de Reza Abaee (gheychak), se sont tournés vers l’ouest en jouant avec le musicien et chanteur turc Ismail Fencioğlu (oud). Un quatuor qui a partagé des points communs pour un concert de qualité, dans le cadre du Festival Accès Asie.
Autour de l’exposition Kaléidoscope
Premier événement culturel du Festival du mois asiatique, Kaléidoscope est une exposition consacrée aux photos de Kiran Ambwani et à des vidéos de Florence So. Le vernissage de ce projet collaboratif a eu lieu samedi à la maison de la culture du Plateau-Montréal. Le point commun entre ces deux membres du comité d’Accès Asie, le thème choisi qui se rapporte à une sélection d’artistes qui ont marqué les vingt ans du festival.
10e Forum économique, commercial et culturel entre les deux rives du détroit de Taiwan
Le 10e Forum économique, commercial et culturel entre les deux rives du détroit de Taiwan s’est ouvert dimanche 3 mai 2015 à Shanghai, en présence de Yu Zhengsheng, plus haut conseiller politique et haut responsable du Parti communiste chinois (PCC) et Éric Chu, président du Kuomintang (KMT), parti au pouvoir à Taiwan.
Manifestation contre la révision de la Constitution japonaise
À l’occasion du 68e anniversaire de l’entrée en vigueur de la Constitution de 1947, entre 20 à 30 000 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté dimanche 3 mai 2015 à Yokohama pour protester contre la révision de la Constitution, qui accorde au Japon le droit à l’autodéfense collective, et s’appliquerait dans des conditions précises, par exemple si un pays étranger ayant des liens forts avec le Japon est attaqué, et cette attaque menace la sécurité du Japon.
Inauguration de la 20e édition du Festival Accès Asie
Hier a eu lieu l’inauguration du Festival Accès Asie. Le public attendait patiemment dans le hall d’entrée du Monument national, l’ouverture des portes, avant de se rendre finalement dans la salle. Celle-ci, décorée de tableaux de style oriental, ne proposait pas de chaises, ce qui a permis non seulement de se mouvoir plus aisément, mais surtout d’accueillir le groupe de taiko japonais, Arashi Daiko avec ses énormes tambours.
Après sa puissante prestation amplifiée par l’isolation de la salle, deux jeunes danseuses ont offert une prestation de danse orientale qui a séduit le public.
L’américanisation côtoie la haine affichée des États-Unis
Avec l’évolution des relations entre l’Iran et la communauté internationale et l’approche d’une éventuelle levée de l’embargo, les Iraniens cherchent à s’émanciper. Malgré la haine affichée par les autorités, la population affiche (hélas !) les symboles des marques américaines.