Le festival du cinéma japonais contemporain est de retour dans son format habituel après une édition numérique due aux contraintes liées au COVID-19. Il se déroule du 7 au 18 décembre 2021.

Le festival du cinéma japonais contemporain est de retour dans son format habituel après une édition numérique due aux contraintes liées au COVID-19. Il se déroule du 7 au 18 décembre 2021.
À 26 ans, la réalisatrice afghane Shahrbanoo Sadat née en Iran a bravé des montagnes pour parvenir à réaliser son premier long métrage, inspiré de sa vie dans un village rural et isolé d’Afghanistan.
Un spectacle peu habituel a été offert au public, le 12 mai, à la Sala Rossa à Montréal. Le public a eu droit, dans ce lieu intimiste, à un Conseil spirituel « conçu pour rendre hommage au lien spirituel, en communion avec les esprits ». Si la spiritualité était difficilement perceptible, la qualité artistique était bien présente.
La Saison des femmes suit le parcours de quatre femmes qui tentent d’échapper à la violence conjugale et sociale. La cinéaste indienne Leena Yadav s’apprête à affronter beaucoup d’opposition pour diffuser son film dans son pays.
Du 3 au 10 février, le FICA honore le réalisateur Im Sang-soo (également président du jury du festival) dans le cadre de l’année France-Corée.
90 films sont proposés au public, classés en 7 thématiques :
« Trois sœurs, Sachi, Yoshino et Chika, vivent ensemble à Kamakura. Par devoir, elles se rendent à l’enterrement de leur père, qui les avait abandonnées une quinzaine d’années auparavant. Elles font alors la connaissance de leur demi-sœur, Suzu, âgée de 14 ans. D’un commun accord, les jeunes femmes décident d’accueillir l’orpheline dans la grande maison familiale… »
À voir sur 20 minutes.
Un film sur les massacres perpétrés par les Khmers rouges. Adapté du roman L’Élimination de Christophe Bataille, il a pour particularité d’avoir été réalisé avec des figurines de terre des images d’archives.
Documentaire franco-cambodgien de Rithy Panh, avec Randal Douc.
Durée : 1 h 30.
Un film de Clément Cogiter qui retrace le quotidien de soldats français en Afghanistan.
Voir l’article de Métro.
Patel est un patronyme commun dans le nord-ouest de l’Inde, en particulier au Gujarat. Les Patels ont fait récemment la une des médias. Ils sont aussi les héros du film « Meet the Patels », un documentaire réjouissant tourné par un frère et une sœur. Il raconte l’histoire d’un indo-américain de 30 ans qui parcourt l’Inde pour trouver une épouse à travers la voie traditionnelle des mariages arrangés.
Le cinéma thaïlandais n’est pas aussi connu que son homologue chinois ou indien. Pourtant, il mérite d’être découvert et « Cemetery of Splendour » (Le Cimetière de la splendeur) est une occasion rêvée de s’ouvrir à de nouveaux horizons cinématographiques.
Des soldats atteints d’une mystérieuse maladie du sommeil sont transférés dans un hôpital provisoire installé dans une école abandonnée. Jenjira se porte volontaire pour s’occuper de Itt, un beau soldat auquel personne ne rend visite. Elle se lie d’amitié avec Keng, une jeune médium qui utilise ses pouvoirs pour aider les proches à communiquer avec les hommes endormis.
Un jour, Jenjira trouve le journal intime de Itt, couvert d’écrits et de croquis étranges. Peut-être existe-t-il une connexion entre l’énigmatique syndrome des soldats et le site ancien mythique qui s’étend sous l’école ? La magie, la guérison, la romance et les rêves se mêlent sur la fragile route de Jenjira vers une conscience profonde d’elle-même et du monde qui l’entoure.