Dans le sillage du Festival Accès Asie, nous nous sommes entretenus avec Ziya Tabassian, un percusionniste iranien installé à Montréal.
Qui est Ziya Tabassian ?
Je suis un musicien d’origine iranienne, vivant au Québec depuis presque 26 ans ! Je suis né à Milan, mais mes parents sont retournés en Iran quand j’avais un mois ! J’ai vécu 11 ans en Iran avant d’immigrer au Canada avec ma famille.
Cette année, pour sa treizième édition le Festival de la Gacilly, en Bretagne, souhaite rendre hommage à la photographie japonaise, trop souvent méconnue. Le thème revêt une importance particulière puisqu’il correspond au cinquième anniversaire de la catastrophe de Fukushima et au soixante-dixième anniversaire d’Hiroshima et de Nagasaki.
Le troisième volet de Golestan a clos le Festival Accès Asie. Au programme de la soirée, de la musique persane et afghane accompagnée de danses afghanes.
Tout est parti d’une vidéo postée le 26 février 2015 par le groupe État islamique. On y voyait des membres de l’organisation terroriste détruire des œuvres d’art antiques à Mossoul, dans le nord de l’Irak. The Economist a alors entrepris une « reconstruction numérique » du musée de la ville et de ses antiquités, avec l’aide de l’ONG Rekrei.
Dans le cadre du Festival Accès Asie, Terres d’Asie a posé quelques questions à Kakim Goh.
Qui est Kakim Goh ?
Je suis un artiste visuel et commissaire du Festival Accès Asie.
Quel est votre parcours ?
Quand la culture japonaise devient aussi captivante sur scène qu’à l’écran.
La première série documentaire sur le Japon proposée sur YouTube par David-Minh TRA connaît un succès grandissant. Elle a déjà séduit près de 10 000 abonnés et a été vue près de 700 000 fois ! En effet, la particularité de la série « Japon, qui es-tu ? », c’est qu’elle se regarde comme une série avec un suspens en fin d’épisode qui accroche le spectateur pour comprendre le dénouement de l’intrigue à l’épisode suivant. Cette série raconte avec humour le périple de son réalisateur/reporter David-Minh TRA, parti au pays du sushi à travers des villes modernes, une île sacrée, la campagne et même le mont Fuji ! Explorateur solitaire, il nous livre ses sentiments sur la culture et la beauté de ce pays qui sont si mystérieux et fascinants aux yeux du monde entier.
Installée en France depuis 18 ans, la danseuse coréenne Eun Young Lee a présenté en Auvergne sa dernière création « Han Gamjung Memory », dans laquelle elle interroge ses propres racines et l’histoire de la Corée. Labellisé par l’institut français dans le cadre de l’année France-Corée, le projet qui mêle vidéo, chorégraphie et musique live s’envolera dans son pays à la mi-octobre.
Ils manifestent pour avoir un accès permanent à l’électricité. La minorité chiite des Hazaras est allée défiler à Kaboul pour protester contre le tracé d’un projet de ligne à haute tension, qui ne passe par leur région.
Un spectacle peu habituel a été offert au public, le 12 mai, à la Sala Rossa à Montréal. Le public a eu droit, dans ce lieu intimiste, à un Conseil spirituel « conçu pour rendre hommage au lien spirituel, en communion avec les esprits ». Si la spiritualité était difficilement perceptible, la qualité artistique était bien présente.
L’inauguration de la 21e édition du Festival Accès Asie s’est tenue, comme les années précédentes, dans le cadre du Monument-National à Montréal.
Le public, qui avait répondu présent, a eu droit aux traditionnels discours de bienvenue et d’inauguration avec Khosro Berahmandi, le directeur général et artistique et Chan Tep, la porte-parole 2016 du festival. Étaient également présents le maire de Pierrefonds-Roxboro, les représentants du Conseil des Arts de Montréal et de la Banque TD.
